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E3 (Electronic Entertainment Expo)
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Re: E3 (Electronic Entertainment Expo)
par Gaamer78 Jeu 7 Juin - 15:45
Dans le monde du jeu vidéo, comme
ailleurs, il y a des valeurs sures avec lesquelles il n'est pas possible
de se tromper. Depuis quelques années déjà, Call of Duty en fait partie, en proposant chaque année un nouvel opus. Cette année, c'est le studio Treyarch qui s'occupe de son développement avec Call of Duty: Black Ops II.
Bien que baptisé comme son aîné disponible depuis bientôt deux ans
déjà, cet opus se veut unique et sans lien avec un quelconque autre.
Comme la plupart des épisodes de la
licence, le jeu débute dans un camion. Durant la route, les coéquipiers
ont ainsi le temps de dresser un portrait de la situation, et les
joueurs d'admirer les graphismes. Bien que ce ne soit pas une révolution
de ce côté, le jeu est très beau à regarder et il n'y a presque rien à
lui reprocher, que ce soit au niveau des décors, des personnages, ou des
effets, comme la chaleur qui se dégage des flammes et des explosions.
La balade de santé ne pouvant pas durer
éternellement, des avions arrivent pour attaquer le convoi et riposter
devient vite une obligation. Fort heureusement, un canon anti-aérien se
trouve dans les environs et en deux temps trois mouvements de manette,
nous voilà débarrassés des oiseaux de malheur. Toutefois, le sol n'est
pas pour autant plus sûr, aussi l'avancée doit être faite prudemment, en
protégeant coûte que coûte la VIP présente sur place.
Comme d'habitude dans la série, Black Ops II
ne laisse que très peu de liberté entre deux scripts. Point négatif
pour certains, ce style colle pourtant parfaitement à la série qui
s'apparente depuis quelques épisodes déjà à un véritable film
interactif.
L'opus prend place dans un futur proche
et bien que les armes ne semblent pas bien différentes de celles qui
existent réellement à première vue, elles se révèlent parfois très
surprenantes. En effet, Treyarch a accentué le côté
technologique en proposant un arsenal très pointu. Aussi, n'espérez pas
voir votre personnage lancer sa grenade à la main ou en utilisant un
lance-grenades standard. Que nenni, celui-ci est intégré au poignet du
personnage principal, ce qui choque cependant lors de l'animation qui
donne l'impression d'un troisième bras.
Malheureusement, nul rescapé d'une
radiation nucléaire ici et il faudra donc se contenter des deux membres
supérieurs habituels, l'équipement faisant le reste. Pour continuer avec
les gadgets, le fusil de sniper peut désormais détecter les ennemis à
travers les murs, tandis que les balles n'ont aucun mal à traverser ces
derniers. Cela ne semble cependant pas du luxe au vue du nombre
d'ennemis présents lors de cette première scène. Cerise sur le gâteau,
un drône viendra prêter main forte lors de certains passages,
mitraillant sur commande les ennemis embusqués.
Après quelques détours aux travers d'une
ville dévastée par la guerre, il est temps d'embarquer dans un avion,
pour protéger du ciel les convois alliés. Équipé d'une mitrailleuse et
d'un lance-roquettes, l'appareil ainsi contrôlé ne semble avoir aucun
mal à abattre ses opposants. C'est en tout cas l'impression que donnait
le testeur qui maniait sa manette avec une fluidité exemplaire. Tout
cela ne change cependant pas énormément des précédentes itérations, mais
après tout, pourquoi changer une formule qui fonctionne ?
Bien que nous n'ayons pas pu avoir un
aperçu du monde online, pourtant fer de lance de la série, nous avons eu
l'occasion d'avoir un aperçu du mode Strike Force, savant mélange entre FPS
et jeu de stratégie. En effet, au lieu de commander un simple commando,
ce mode permet de contrôler une véritable escouade complète, comprenant
des unités à terre, mais également des drônes et des unités dans le
ciel.
En plus de diriger directement une unité
en particulier, le joueur peut donner des ordres à ses coéquipiers via
la carte, faisant ainsi en sorte qu'ils se déplacent suivant un schéma
bien précis. Il est également possible d'incarner à n'importe quel
moment l'un des différents soldats présents sur le champ de bataille, de
quoi offrir une vision toute autre sur ce qui'il s'y passe.
Autrement dit, Call of Duty: Black Ops II
s'inscrit dans la lignée de ses prédécesseurs, cumulant leurs points
positifs tout en apportant sa touche personnelle non négligeable afin de
ne pas lasser le public. Ceux qui aiment la série peuvent donc se jeter
sur cet épisode sans aucun doute, tandis que les autres pourront
essayer les nouveautés et se forger un avis sur cet opus en particulier
qui ne démérite pas.
Pour rappel, Call of Duty: Black Ops II sortira le 13 novembre 2012.
ailleurs, il y a des valeurs sures avec lesquelles il n'est pas possible
de se tromper. Depuis quelques années déjà, Call of Duty en fait partie, en proposant chaque année un nouvel opus. Cette année, c'est le studio Treyarch qui s'occupe de son développement avec Call of Duty: Black Ops II.
Bien que baptisé comme son aîné disponible depuis bientôt deux ans
déjà, cet opus se veut unique et sans lien avec un quelconque autre.
Comme la plupart des épisodes de la
licence, le jeu débute dans un camion. Durant la route, les coéquipiers
ont ainsi le temps de dresser un portrait de la situation, et les
joueurs d'admirer les graphismes. Bien que ce ne soit pas une révolution
de ce côté, le jeu est très beau à regarder et il n'y a presque rien à
lui reprocher, que ce soit au niveau des décors, des personnages, ou des
effets, comme la chaleur qui se dégage des flammes et des explosions.
La balade de santé ne pouvant pas durer
éternellement, des avions arrivent pour attaquer le convoi et riposter
devient vite une obligation. Fort heureusement, un canon anti-aérien se
trouve dans les environs et en deux temps trois mouvements de manette,
nous voilà débarrassés des oiseaux de malheur. Toutefois, le sol n'est
pas pour autant plus sûr, aussi l'avancée doit être faite prudemment, en
protégeant coûte que coûte la VIP présente sur place.
Comme d'habitude dans la série, Black Ops II
ne laisse que très peu de liberté entre deux scripts. Point négatif
pour certains, ce style colle pourtant parfaitement à la série qui
s'apparente depuis quelques épisodes déjà à un véritable film
interactif.
L'opus prend place dans un futur proche
et bien que les armes ne semblent pas bien différentes de celles qui
existent réellement à première vue, elles se révèlent parfois très
surprenantes. En effet, Treyarch a accentué le côté
technologique en proposant un arsenal très pointu. Aussi, n'espérez pas
voir votre personnage lancer sa grenade à la main ou en utilisant un
lance-grenades standard. Que nenni, celui-ci est intégré au poignet du
personnage principal, ce qui choque cependant lors de l'animation qui
donne l'impression d'un troisième bras.
Malheureusement, nul rescapé d'une
radiation nucléaire ici et il faudra donc se contenter des deux membres
supérieurs habituels, l'équipement faisant le reste. Pour continuer avec
les gadgets, le fusil de sniper peut désormais détecter les ennemis à
travers les murs, tandis que les balles n'ont aucun mal à traverser ces
derniers. Cela ne semble cependant pas du luxe au vue du nombre
d'ennemis présents lors de cette première scène. Cerise sur le gâteau,
un drône viendra prêter main forte lors de certains passages,
mitraillant sur commande les ennemis embusqués.
Après quelques détours aux travers d'une
ville dévastée par la guerre, il est temps d'embarquer dans un avion,
pour protéger du ciel les convois alliés. Équipé d'une mitrailleuse et
d'un lance-roquettes, l'appareil ainsi contrôlé ne semble avoir aucun
mal à abattre ses opposants. C'est en tout cas l'impression que donnait
le testeur qui maniait sa manette avec une fluidité exemplaire. Tout
cela ne change cependant pas énormément des précédentes itérations, mais
après tout, pourquoi changer une formule qui fonctionne ?
Bien que nous n'ayons pas pu avoir un
aperçu du monde online, pourtant fer de lance de la série, nous avons eu
l'occasion d'avoir un aperçu du mode Strike Force, savant mélange entre FPS
et jeu de stratégie. En effet, au lieu de commander un simple commando,
ce mode permet de contrôler une véritable escouade complète, comprenant
des unités à terre, mais également des drônes et des unités dans le
ciel.
En plus de diriger directement une unité
en particulier, le joueur peut donner des ordres à ses coéquipiers via
la carte, faisant ainsi en sorte qu'ils se déplacent suivant un schéma
bien précis. Il est également possible d'incarner à n'importe quel
moment l'un des différents soldats présents sur le champ de bataille, de
quoi offrir une vision toute autre sur ce qui'il s'y passe.
Autrement dit, Call of Duty: Black Ops II
s'inscrit dans la lignée de ses prédécesseurs, cumulant leurs points
positifs tout en apportant sa touche personnelle non négligeable afin de
ne pas lasser le public. Ceux qui aiment la série peuvent donc se jeter
sur cet épisode sans aucun doute, tandis que les autres pourront
essayer les nouveautés et se forger un avis sur cet opus en particulier
qui ne démérite pas.
Pour rappel, Call of Duty: Black Ops II sortira le 13 novembre 2012.
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Re: E3 (Electronic Entertainment Expo)
par Gaamer78 Jeu 7 Juin - 15:45
2 . 0148067070 www.sat-elitegames.com
Depuis 2006 et le quatrième opus sorti sur Xbox 360, les combattants de Dead or Alive
se sont un peu rangés. Fort heureusement, ils vont revenir en fanfare
en septembre prochain, via un cinquième épisode tout nouveau tout beau.
Comme ils ont eu le temps de se préparer, ils devraient avoir droit à de
belles évolutions. Et l’E3 fut d’ailleurs l’occasion d’en apprécier
quelques-une, manette en mains.
Premier constat, et pas des moindres, Dead or Alive 5 s’annonce comme l’épisode le plus difficile et le plus technique de la franchise. Bien entendu, le soft
reste très typé arcade, avec une prise en main relativement rapide et
des combos qui s’enchaînent naturellement et plutôt facilement. En
revanche, le système de contre-attaque a été revu, avec l’ajout d’un
quatrième point pour répondre à une menace. Le timing est plus
serré qu’avant, les dégâts sont moindres et les experts apprécieront le
fait qu’il existe des super contre-attaques, plus dévastatrices mais
dont la combinaison de touches requiert plus de maîtrise. Il va falloir
du temps avant de devenir un as.
Par ailleurs, la Team Ninja a implémenté le Power Blow.
Il n’est déclenchable qu’à partir du moment où votre personnage ne
possède plus beaucoup de vie (la moitié de la barre de vie ou moins) et
s’apparente à un super coup. S’il n’est pas si efficace que son nom le
laisse sous-entendre, cela est compensé par la possibilité d'envoyer son
adversaire vers un endroit voulu, grâce au contrôle de la caméra induit
de la séquence au ralenti. Le but est de profiter de certains éléments
des décors dynamiques pour faire mal (exemple : une voiture) et de
retourner la situation à son avantage.
Graphiquement parlant, Dead or Alive 5 est très beau. La Team Ninja
a encore une fois apporté beaucoup de soin à la modélisation des
personnages, notamment celle des filles, véritables créatures
aguicheuses. Les mouvements sont plus réalises que jamais et la sueur
tombe même des visages des protagonistes, signe que les détails
n'échappent pas aux développeurs. C’est un véritable bonheur pour les
yeux et les amoureux de belles plastiques féminines seront aux anges.
Quant au gameplay, le fait qu’il conjugue éléments complexes et
plaisir immédiat suffit pour faire de cet épisode un jeu à posséder
dans sa ludothèque. À sortir entre potes, aussi bien pour baver que
s’amuser.
Depuis 2006 et le quatrième opus sorti sur Xbox 360, les combattants de Dead or Alive
se sont un peu rangés. Fort heureusement, ils vont revenir en fanfare
en septembre prochain, via un cinquième épisode tout nouveau tout beau.
Comme ils ont eu le temps de se préparer, ils devraient avoir droit à de
belles évolutions. Et l’E3 fut d’ailleurs l’occasion d’en apprécier
quelques-une, manette en mains.
Premier constat, et pas des moindres, Dead or Alive 5 s’annonce comme l’épisode le plus difficile et le plus technique de la franchise. Bien entendu, le soft
reste très typé arcade, avec une prise en main relativement rapide et
des combos qui s’enchaînent naturellement et plutôt facilement. En
revanche, le système de contre-attaque a été revu, avec l’ajout d’un
quatrième point pour répondre à une menace. Le timing est plus
serré qu’avant, les dégâts sont moindres et les experts apprécieront le
fait qu’il existe des super contre-attaques, plus dévastatrices mais
dont la combinaison de touches requiert plus de maîtrise. Il va falloir
du temps avant de devenir un as.
Par ailleurs, la Team Ninja a implémenté le Power Blow.
Il n’est déclenchable qu’à partir du moment où votre personnage ne
possède plus beaucoup de vie (la moitié de la barre de vie ou moins) et
s’apparente à un super coup. S’il n’est pas si efficace que son nom le
laisse sous-entendre, cela est compensé par la possibilité d'envoyer son
adversaire vers un endroit voulu, grâce au contrôle de la caméra induit
de la séquence au ralenti. Le but est de profiter de certains éléments
des décors dynamiques pour faire mal (exemple : une voiture) et de
retourner la situation à son avantage.
Graphiquement parlant, Dead or Alive 5 est très beau. La Team Ninja
a encore une fois apporté beaucoup de soin à la modélisation des
personnages, notamment celle des filles, véritables créatures
aguicheuses. Les mouvements sont plus réalises que jamais et la sueur
tombe même des visages des protagonistes, signe que les détails
n'échappent pas aux développeurs. C’est un véritable bonheur pour les
yeux et les amoureux de belles plastiques féminines seront aux anges.
Quant au gameplay, le fait qu’il conjugue éléments complexes et
plaisir immédiat suffit pour faire de cet épisode un jeu à posséder
dans sa ludothèque. À sortir entre potes, aussi bien pour baver que
s’amuser.
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Re: E3 (Electronic Entertainment Expo)
par Gaamer78 Jeu 7 Juin - 15:45
Le petit Oliver n'en finit plus de
nous faire languir, nous autres occidentaux, alors que son aventure
intégralement localisée dans une foultitude de langues ne devrait pas
débarquer sur nos côtes avant le mois de janvier 2013.
Prenons donc notre mal en patience et admirons une nouvelle galerie d'images de Ni no Kuni: Wrath of the White Witch que Namco Bandai Games a eut le bon goût de mener avec lui à l'E3 2012.
nous faire languir, nous autres occidentaux, alors que son aventure
intégralement localisée dans une foultitude de langues ne devrait pas
débarquer sur nos côtes avant le mois de janvier 2013.
Prenons donc notre mal en patience et admirons une nouvelle galerie d'images de Ni no Kuni: Wrath of the White Witch que Namco Bandai Games a eut le bon goût de mener avec lui à l'E3 2012.
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Re: E3 (Electronic Entertainment Expo)
par Gaamer78 Jeu 7 Juin - 15:45
Les joueurs semblent rester sur leur faim avec cet E3 2012 en demi teinte sur fond de crise économique, mais surtout à cause de l'absence remarquée des consoles next-gen.
Contrairement à ce que pensent les consommateurs, l'absence de Xbox 8
et de Playstation 4 est une aubaine pour les éditeurs tiers, tels qu'Electronic Arts.
En effet, selon Frank Gibeau, président du label EA,
l'impressionnante masse de jeux d'éditeurs tiers est due au manque de
nouveau hardware. Lorsqu'il a été interrogé au sujet de l'attention qui
leur est portée, il a répondu :
Quelques éditeurs ont passé le pas de la next-gen en présentant leurs projets, comme Ubisoft l'a fait avec Watch Dogs et Lucas Arts avec Star Wars 1313, mais Gibeau estime que c'est une erreur et qu'Electronic Arts "ne pense pas que ce soit le bon moment" de montrer ses propres titres next-gen cette année.
Contrairement à ce que pensent les consommateurs, l'absence de Xbox 8
et de Playstation 4 est une aubaine pour les éditeurs tiers, tels qu'Electronic Arts.
En effet, selon Frank Gibeau, président du label EA,
l'impressionnante masse de jeux d'éditeurs tiers est due au manque de
nouveau hardware. Lorsqu'il a été interrogé au sujet de l'attention qui
leur est portée, il a répondu :
C'est naturel, tout comme la transition entre la PS2 et la PS3, ou de la PSOne à la PS2, nous sommes dans l'année d'avant le grand changement. Et la Wii U est le premier acte d'ouverture du passage à la next-gen.
Vous n'aurez qu'un demi-spectacle cette année. Vous aurez la Wii U,
mais vous n'aurez pas l'autre moitié de l'histoire donc c'est un peu
bizarre.
Frank Gibeau a aussi ajouté que malgré l'arrivée prochaine des consoles next-gen, la Xbox 360 et la PS3 "ne disparaîtront pas [...], elles vont continuer sur leur lancée et il y a des millions de clients qui jouent avec".
Dans ce contexte, je pense que de nombreux éditeurs tiers vont rester
en avant et attirer vers eux les projecteurs, car c'est un message plus
clair et qui touchera plus de monde.
Quelques éditeurs ont passé le pas de la next-gen en présentant leurs projets, comme Ubisoft l'a fait avec Watch Dogs et Lucas Arts avec Star Wars 1313, mais Gibeau estime que c'est une erreur et qu'Electronic Arts "ne pense pas que ce soit le bon moment" de montrer ses propres titres next-gen cette année.
Voici qui est clair. Pour espérer voir de la next-gen, aussi bien hard que software, il faudra patienter au moins jusqu'au CES 2013, voire encore un an jusqu'à l'E3 2013.
C'est mieux de montrer quelque chose qui a du corps. Les joueurs ne
sont pas bêtes et savent bien que vous leur présentez du pré-calculé,
ils sont capables d'analyser et de donner leur avis.
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Re: E3 (Electronic Entertainment Expo)
par Gaamer78 Jeu 7 Juin - 15:46
La licence Transformers compte à l'heure actuelle déjà
quatre jeux sur les consoles haute définition de cette génération,
généralement en rapport avec un film. Sans aucun lien avec le cinéma, High Moon Studios réitère l'expérience avec un nouvel opus toutefois développé dans le respect de l'univers.
Transformers : La Chute de Cybertron nous fait donc
découvrir des environnements inédits et nous avons eu l'occasion de
poser nos mains sur une manette pour en avoir un avant-goût.
Dans ce premier niveau testé lors de l'E3 2012, nous incarnons Bumblebee qui cherche à prêter main forte à Optimus Prime afin de s'échaper de la base de Megatron. Bien évidemment, cela ne se fait pas sans verser quelques gouttes d'huile de vidange ou sans déboulonner quelques Decepticons.
Tout d'abord graphiquement, le jeu gagnerait à s'améliorer. En effet,
le moteur ne semble pas ou peu avoir subi de modifications depuis les
derniers opus, rendant l'aspect général plutôt old-school. À
noter que certaines parties du décor sont toutefois destructibles. De
plus, cette lacune ne devrait pas arrêter le véritable gamer qui cherche avant tout le plaisir du jeu, le privilégiant au plaisir des yeux.
Les premiers pas dans la peau - ou plutôt la carcasse - de l'Autobot
jaune-taxi se font sans difficulté, les commandes principales étant
instinctives et régulièrement rappelées à l'écran. Le temps d'apprendre à
tourner la tête et à dégainer sa mitrailleuse et voilà Bumblebee parti à la recherche de son supérieur au travers des couloirs métalliques de cette base ennemie.
Comme pour tous les jeux issus de la licence, les mouvements sont
très agréables et offrent une sensation de puissance et de vitesse
certaine, ainsi qu'une bonne agilité malgré le poids d'un robot de cette
taille. En outre, les transformations sont toujours aussi jouissives.
Arrivent les scènes de combat qui se suivent et se ressemblent, un
coup à distance, l'autre au corps-à-corps. Fort heureusement, la
possibilité de pouvoir switcher son arme du côté gauche ou du
côté droit en fonction des besoins apporte un petit plus stratégique
lors des batailles à couvert afin de ne présenter qu'une infime partie
de sa carrosserie aux tirs ennemis.
Après un enchaînement de couloirs - le jeu ne laissant pas grande
place à la fantaisie de ce côté là -, la cinématique de fin de niveau
apporte un dénouement laissant pantois et il faut l'avouer, si le jeu ne
se démarque pas par ses graphismes ou son gameplay, il innove
du côté du scénario, ce qui accrochera certains à la manette assez
longtemps pour vouloir passer aux scènes suivantes, que nous n'avons
malheureusement pas eu l'occasion de tester.
En plus de son mode aventure, Transformers : La Chute de Cybertron propose un mode multijoueur dans lequel il est possible de personnaliser entièrement son joueur, ainsi qu'un mode baptisé Escalation dans lequel jusqu'à quatre joueurs doivent repousser des vagues d'ennemis arrivant de plus en plus nombreux.
En conclusion, si cette itération ne brille pas sur son aspect
général, ce qui n'en fait pas un incontournable, mais se rattrape sur
certains points, ce qui plaira certainement à ceux ayant apprécié les
précédents opus ou découvrant la licence. Reste à savoir si les modes
multijoueurs et la durée de vie suffiront à effacer les quelques lacunes
du jeu aux yeux de ceux qui ne sont pas adeptes à la série.
Pour rappel, Transformers : La Chute de Cybertron est prévu pour le 31 août 2012.
quatre jeux sur les consoles haute définition de cette génération,
généralement en rapport avec un film. Sans aucun lien avec le cinéma, High Moon Studios réitère l'expérience avec un nouvel opus toutefois développé dans le respect de l'univers.
Transformers : La Chute de Cybertron nous fait donc
découvrir des environnements inédits et nous avons eu l'occasion de
poser nos mains sur une manette pour en avoir un avant-goût.
Dans ce premier niveau testé lors de l'E3 2012, nous incarnons Bumblebee qui cherche à prêter main forte à Optimus Prime afin de s'échaper de la base de Megatron. Bien évidemment, cela ne se fait pas sans verser quelques gouttes d'huile de vidange ou sans déboulonner quelques Decepticons.
Tout d'abord graphiquement, le jeu gagnerait à s'améliorer. En effet,
le moteur ne semble pas ou peu avoir subi de modifications depuis les
derniers opus, rendant l'aspect général plutôt old-school. À
noter que certaines parties du décor sont toutefois destructibles. De
plus, cette lacune ne devrait pas arrêter le véritable gamer qui cherche avant tout le plaisir du jeu, le privilégiant au plaisir des yeux.
Les premiers pas dans la peau - ou plutôt la carcasse - de l'Autobot
jaune-taxi se font sans difficulté, les commandes principales étant
instinctives et régulièrement rappelées à l'écran. Le temps d'apprendre à
tourner la tête et à dégainer sa mitrailleuse et voilà Bumblebee parti à la recherche de son supérieur au travers des couloirs métalliques de cette base ennemie.
Comme pour tous les jeux issus de la licence, les mouvements sont
très agréables et offrent une sensation de puissance et de vitesse
certaine, ainsi qu'une bonne agilité malgré le poids d'un robot de cette
taille. En outre, les transformations sont toujours aussi jouissives.
Arrivent les scènes de combat qui se suivent et se ressemblent, un
coup à distance, l'autre au corps-à-corps. Fort heureusement, la
possibilité de pouvoir switcher son arme du côté gauche ou du
côté droit en fonction des besoins apporte un petit plus stratégique
lors des batailles à couvert afin de ne présenter qu'une infime partie
de sa carrosserie aux tirs ennemis.
Après un enchaînement de couloirs - le jeu ne laissant pas grande
place à la fantaisie de ce côté là -, la cinématique de fin de niveau
apporte un dénouement laissant pantois et il faut l'avouer, si le jeu ne
se démarque pas par ses graphismes ou son gameplay, il innove
du côté du scénario, ce qui accrochera certains à la manette assez
longtemps pour vouloir passer aux scènes suivantes, que nous n'avons
malheureusement pas eu l'occasion de tester.
En plus de son mode aventure, Transformers : La Chute de Cybertron propose un mode multijoueur dans lequel il est possible de personnaliser entièrement son joueur, ainsi qu'un mode baptisé Escalation dans lequel jusqu'à quatre joueurs doivent repousser des vagues d'ennemis arrivant de plus en plus nombreux.
En conclusion, si cette itération ne brille pas sur son aspect
général, ce qui n'en fait pas un incontournable, mais se rattrape sur
certains points, ce qui plaira certainement à ceux ayant apprécié les
précédents opus ou découvrant la licence. Reste à savoir si les modes
multijoueurs et la durée de vie suffiront à effacer les quelques lacunes
du jeu aux yeux de ceux qui ne sont pas adeptes à la série.
Pour rappel, Transformers : La Chute de Cybertron est prévu pour le 31 août 2012.
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Re: E3 (Electronic Entertainment Expo)
par Gaamer78 Jeu 7 Juin - 15:47
Annoncé il y a une semaine, Doom 3: BFG Edition se veut être la compilation ultime rendant hommage à la célèbre série qui a marqué le genre FPS
des années '90. Les plus jeunes d'entre nous auront la chance de
(re)découvrir cette franchise par le biais de cette édition qui nous est
conçue par id Software.
John Carmack, le génie de la programmation de chez id Software, qui nous avoue qu'il "s'était ennuyé" après avoir terminé son dernier moteur de jeu - le Tech ID 5, celui utilisé pour RAGE - a ajouté un peu de sa sauce spéciale au tant attendu Doom 3: BFG Edition. La réédition comprend le Doom 3 d'origine (maintenant avec des lampes de poche et des armes simultanément utilisables), le pack d'extension Resurrection of Evil, les versions commerciales de Doom et Doom II du Xbox Live Arcade, ainsi que d'autres contenus. Parmi les améliorations importantes, nous retenons principalement la résolution HD, un nombre de FPS (Frames per second) de 60 et, le meilleur de tous, le support de la 3D stéréoscopique (HDTV). Nos confrères d'IGN ont pu tester le jeu en 3D stéréoscopique et ils ont été plus que satisfaits.
des années '90. Les plus jeunes d'entre nous auront la chance de
(re)découvrir cette franchise par le biais de cette édition qui nous est
conçue par id Software.
John Carmack, le génie de la programmation de chez id Software, qui nous avoue qu'il "s'était ennuyé" après avoir terminé son dernier moteur de jeu - le Tech ID 5, celui utilisé pour RAGE - a ajouté un peu de sa sauce spéciale au tant attendu Doom 3: BFG Edition. La réédition comprend le Doom 3 d'origine (maintenant avec des lampes de poche et des armes simultanément utilisables), le pack d'extension Resurrection of Evil, les versions commerciales de Doom et Doom II du Xbox Live Arcade, ainsi que d'autres contenus. Parmi les améliorations importantes, nous retenons principalement la résolution HD, un nombre de FPS (Frames per second) de 60 et, le meilleur de tous, le support de la 3D stéréoscopique (HDTV). Nos confrères d'IGN ont pu tester le jeu en 3D stéréoscopique et ils ont été plus que satisfaits.
À titre de rappel, Doom 3: BFG Edition − qui est prévu pour cette année − sera disponible sur Xbox 360, PlayStation 3 et PC.
Nous avons joué un peu au jeu en mode 3D stéréoscopique, et peut-être
le plus beau compliment que nous puissions lui rendre, c'est que non
seulement il ressemble à un jeu moderne, mais la 3D y est si naturelle.
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Re: E3 (Electronic Entertainment Expo)
par Gaamer78 Jeu 7 Juin - 15:47
Prévu pour octobre prochain, Resident Evil 6 s’est laissé approcher pendant une quarantaine de minutes sur le stand Capcom de l’E3. Cette longueur était due à la possibilité d’incarner les trois personnages jouables, à savoir Leon, Chris et Jack. Trois héros pour autant de gameplay
différents et d’histoires qui finiront par se croiser, sous fond de
Monde à sauver et d’épidémie à endiguer une bonne fois pour toutes. Sans
plus attendre, faisons place à Leon et son blouson de cuir légendaire et toujours aussi classe.
Bien des années après les événements de Resident Evil 4, Leon
se retrouve dans une sacrée situation : il est obligé de tuer le
président des États-Unis, suite à l'infection de ce dernier. Accompagné d'Helena
et mû par un sentiment de culpabilité, il doit sortir d’une étrange
cathédrale ayant accueilli un gros banquet. Le décor est posé. Très
vite, nous comprenons que le segment consacré à Leon est un
petit retour aux sources, à ceci près qu’il a conservé les actions à
réaliser à deux du cinquième opus (des ordres peuvent être donnés).
Par ailleurs, notre héros est désormais équipé d’un gadget baptisé Display Route Guide.
C’est une sorte de GPS indiquant la route à suivre avec une vision en
sonar. Ce côté très technologique est également présent dans
l’inventaire, qui a abandonné les cases pour des modules plus dans l’air
du temps. Sinon, nous retrouvons une ambiance proche des premiers
manoirs, avec un protagoniste qui marche ou court selon la situation ;
une action davantage éparse et une tension très palpable et ô combien
flippante. Au rang des bonnes nouvelles, il est possible de tirer en
marchant ou, plutôt, en reculant et les combats sont très dynamiques
(coups de pied quand la visée n’est pas activée, QTE,…). Leon profite donc de la sonnette d’alarme tirée par certains fans à l’encontre de Resident Evil 5.
En revanche, si Leon bénéficie d’un gameplay intéressant et baignant dans une nostalgie bienvenue, impossible d’en dire autant des scènes avec Chris et son acolyte Piers. Le frère de Claire
a reçu l'héritage de sa précédente aventure, illustré par des
affrontements très voire trop nombreux. De fait, sa quête s'apparente
plus à un TPS, en sachant que la prise en mains ne s’y prête
pas forcément (il n’est pas encore assez souple malgré les
améliorations). L’autre élément qui explique ce constat se trouve dans
les ennemis équipés d’armes à feu, qui ne cessent de canarder. Pour
contrebalancer ce point, la santé se régénère automatiquement et par
palier. Pour conclure sur Chris, Capcom a sans doute
implémenté une telle frénésie pour nous faire comprendre l’urgence de la
situation vécue par la planète. Pari à moitié réussi.
Concernant Jack, il se situe en tout ou partie entre Leon et Chris, même si le chapitre testé le rapprochait plus de l’officier du BSAA. C’est tout à fait logique puisque le fils de Wesker est le plus puissant des trois (il possède le sang de son paternel). Ce qui rassure, par rapport aux minutes en compagnie de Chris,
c’est qu’il a eu droit à un affrontement avec un monstre géant,
rappelant Némésis à son bon souvenir. Il s’agissait d’abord de le fuir,
puis de l’affronter directement, dans un entrepôt désaffecté, aidé cette
fois-ci de Sherry. Une preuve de plus que l'esprit Resident Evil n'est pas totalement parti.
Au final, Resident Evil 6 alterne le très bon – Leon, Jack dans une moindre mesure – avec le moyen – Chris.
En essayant de (re)plaire à ceux qui ont porté la saga dans leur cœur
pendant des années et d’assurer l’évolution en continuant sur la lancée
de Resident Evil 5, Capcom tend à livre une œuvre schizophrène et très déroutante. Tôt ou tard, il va bien falloir se faire pardonner…
différents et d’histoires qui finiront par se croiser, sous fond de
Monde à sauver et d’épidémie à endiguer une bonne fois pour toutes. Sans
plus attendre, faisons place à Leon et son blouson de cuir légendaire et toujours aussi classe.
Bien des années après les événements de Resident Evil 4, Leon
se retrouve dans une sacrée situation : il est obligé de tuer le
président des États-Unis, suite à l'infection de ce dernier. Accompagné d'Helena
et mû par un sentiment de culpabilité, il doit sortir d’une étrange
cathédrale ayant accueilli un gros banquet. Le décor est posé. Très
vite, nous comprenons que le segment consacré à Leon est un
petit retour aux sources, à ceci près qu’il a conservé les actions à
réaliser à deux du cinquième opus (des ordres peuvent être donnés).
Par ailleurs, notre héros est désormais équipé d’un gadget baptisé Display Route Guide.
C’est une sorte de GPS indiquant la route à suivre avec une vision en
sonar. Ce côté très technologique est également présent dans
l’inventaire, qui a abandonné les cases pour des modules plus dans l’air
du temps. Sinon, nous retrouvons une ambiance proche des premiers
manoirs, avec un protagoniste qui marche ou court selon la situation ;
une action davantage éparse et une tension très palpable et ô combien
flippante. Au rang des bonnes nouvelles, il est possible de tirer en
marchant ou, plutôt, en reculant et les combats sont très dynamiques
(coups de pied quand la visée n’est pas activée, QTE,…). Leon profite donc de la sonnette d’alarme tirée par certains fans à l’encontre de Resident Evil 5.
En revanche, si Leon bénéficie d’un gameplay intéressant et baignant dans une nostalgie bienvenue, impossible d’en dire autant des scènes avec Chris et son acolyte Piers. Le frère de Claire
a reçu l'héritage de sa précédente aventure, illustré par des
affrontements très voire trop nombreux. De fait, sa quête s'apparente
plus à un TPS, en sachant que la prise en mains ne s’y prête
pas forcément (il n’est pas encore assez souple malgré les
améliorations). L’autre élément qui explique ce constat se trouve dans
les ennemis équipés d’armes à feu, qui ne cessent de canarder. Pour
contrebalancer ce point, la santé se régénère automatiquement et par
palier. Pour conclure sur Chris, Capcom a sans doute
implémenté une telle frénésie pour nous faire comprendre l’urgence de la
situation vécue par la planète. Pari à moitié réussi.
Concernant Jack, il se situe en tout ou partie entre Leon et Chris, même si le chapitre testé le rapprochait plus de l’officier du BSAA. C’est tout à fait logique puisque le fils de Wesker est le plus puissant des trois (il possède le sang de son paternel). Ce qui rassure, par rapport aux minutes en compagnie de Chris,
c’est qu’il a eu droit à un affrontement avec un monstre géant,
rappelant Némésis à son bon souvenir. Il s’agissait d’abord de le fuir,
puis de l’affronter directement, dans un entrepôt désaffecté, aidé cette
fois-ci de Sherry. Une preuve de plus que l'esprit Resident Evil n'est pas totalement parti.
Au final, Resident Evil 6 alterne le très bon – Leon, Jack dans une moindre mesure – avec le moyen – Chris.
En essayant de (re)plaire à ceux qui ont porté la saga dans leur cœur
pendant des années et d’assurer l’évolution en continuant sur la lancée
de Resident Evil 5, Capcom tend à livre une œuvre schizophrène et très déroutante. Tôt ou tard, il va bien falloir se faire pardonner…
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Re: E3 (Electronic Entertainment Expo)
par Gaamer78 Jeu 7 Juin - 15:49
Cet été, Spider-Man reprend du service dans un nouveau film totalement différent de ceux présentés ces dernières années. Afin de célébrer cela, Beenox et Activision présentent une adaptation vidéoludique du titre. Adaptation ? Pas tout à fait ! En effet, l'histoire de The Amazing Spider-Man se déroulera après celle du film éponyme.
The Amazing Spider-Man a
été entièrement remanié et n'a donc rien de similaire aux précédents
opus développés par le studio, ce qui lui offre un renouveau certain. En
effet, l'équipe a travaillé à offrir non seulement des graphismes de
qualité dans les moindres détails. Par exemple, la respiration de Peter Parker
gonfle son torse de manière significative, ses vêtements et son costume
sont endommagés en fonction des coups qu'il prend, etc. Mais ce n'est
pas tout ! Le but était également de faire ressentir au joueur la
sensation d'être Spider-Man. Sur ce point, c'est un véritable succès.
Le jeu se présente à la troisième
personne, avec cependant une caméra très proche du héros. Le monde
ouvert donne également une impression de liberté très agréable, ce qui
promet de nombreuses minutes passées à se balader d'immeuble en immeuble
sans même se soucier d'une éventuelle mission, d'autant que les sauts
de l'homme-araignée donnent littéralement le vertige tant l'effet est
bien rendu. De plus, la ville évolue au fil de l'aventure, afin que
l'atmosphère colle toujours parfaitement avec le moment de l'histoire.
Une fois les premières euphories
passées, il est temps de se mettre au travail et de nettoyer la ville de
tous les criminels qui la peuple. Pour cela, Spidy possède un smartphone
qui lui permet à n'importe quel moment d'afficher une carte de
Manhattan sur laquelle des logos indiquent les "missions". Par ailleurs,
le téléphone de notre héros lui servira également à prendre des photos
si le besoin s'en fait sentir. Les séquences de voltige peuvent se faire
en s'agrippant à la volée grâce aux pouvoirs conférés par l'araignée
mutante au gré des envies du joueur, ou bien en utilisant le "web rush",
une vision dans laquelle seule la destination compte. Le moteur du jeu
calcule alors la trajectoire, offrant des animations variées toujours
aussi impressionnantes.
Une fois arrivé sur place, les combats
se font tout aussi dynamiquement que les déplacements, enchaînant combos
et contre dans des scènes de QTE, esquives magistrales. La
toile sera également de la partie, permettant d'immobiliser les
adversaires pour une courte période, ce qui n'est pas négligeable en cas
d'assaillants trop nombreux. Les ennemis ne seront pas seulement au sol
et les drones offriront de bonnes occasions d'essayer les combats
aériens, tout aussi fluides que les autres.
Afin d'apporter une plus-value au titre, il est possible de récupérer des pages de comics
disséminées au travers de la ville. Une fois que le nombre suffisant
est obtenu, ces feuilles offrent une véritable bande-dessinée
consultable via une liseuse au sein même du jeu. Si l'envie prend à Peter Parker
de se reposer entre deux affrontements, il lui sera possible de
rejoindre son appartement, où il a entre autres la possibilité de se
changer (rappelons que les habits s'usent au fil des combats).
Autant dire que The Amazing Spider-Man s'annonce aussi stupéfiant que son titre le laisse sous-entendre et méritera de faire partie de la collection de tout joueur dès sa sortie le 29 juin.
The Amazing Spider-Man a
été entièrement remanié et n'a donc rien de similaire aux précédents
opus développés par le studio, ce qui lui offre un renouveau certain. En
effet, l'équipe a travaillé à offrir non seulement des graphismes de
qualité dans les moindres détails. Par exemple, la respiration de Peter Parker
gonfle son torse de manière significative, ses vêtements et son costume
sont endommagés en fonction des coups qu'il prend, etc. Mais ce n'est
pas tout ! Le but était également de faire ressentir au joueur la
sensation d'être Spider-Man. Sur ce point, c'est un véritable succès.
Le jeu se présente à la troisième
personne, avec cependant une caméra très proche du héros. Le monde
ouvert donne également une impression de liberté très agréable, ce qui
promet de nombreuses minutes passées à se balader d'immeuble en immeuble
sans même se soucier d'une éventuelle mission, d'autant que les sauts
de l'homme-araignée donnent littéralement le vertige tant l'effet est
bien rendu. De plus, la ville évolue au fil de l'aventure, afin que
l'atmosphère colle toujours parfaitement avec le moment de l'histoire.
Une fois les premières euphories
passées, il est temps de se mettre au travail et de nettoyer la ville de
tous les criminels qui la peuple. Pour cela, Spidy possède un smartphone
qui lui permet à n'importe quel moment d'afficher une carte de
Manhattan sur laquelle des logos indiquent les "missions". Par ailleurs,
le téléphone de notre héros lui servira également à prendre des photos
si le besoin s'en fait sentir. Les séquences de voltige peuvent se faire
en s'agrippant à la volée grâce aux pouvoirs conférés par l'araignée
mutante au gré des envies du joueur, ou bien en utilisant le "web rush",
une vision dans laquelle seule la destination compte. Le moteur du jeu
calcule alors la trajectoire, offrant des animations variées toujours
aussi impressionnantes.
Une fois arrivé sur place, les combats
se font tout aussi dynamiquement que les déplacements, enchaînant combos
et contre dans des scènes de QTE, esquives magistrales. La
toile sera également de la partie, permettant d'immobiliser les
adversaires pour une courte période, ce qui n'est pas négligeable en cas
d'assaillants trop nombreux. Les ennemis ne seront pas seulement au sol
et les drones offriront de bonnes occasions d'essayer les combats
aériens, tout aussi fluides que les autres.
Afin d'apporter une plus-value au titre, il est possible de récupérer des pages de comics
disséminées au travers de la ville. Une fois que le nombre suffisant
est obtenu, ces feuilles offrent une véritable bande-dessinée
consultable via une liseuse au sein même du jeu. Si l'envie prend à Peter Parker
de se reposer entre deux affrontements, il lui sera possible de
rejoindre son appartement, où il a entre autres la possibilité de se
changer (rappelons que les habits s'usent au fil des combats).
Autant dire que The Amazing Spider-Man s'annonce aussi stupéfiant que son titre le laisse sous-entendre et méritera de faire partie de la collection de tout joueur dès sa sortie le 29 juin.
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Re: E3 (Electronic Entertainment Expo)
par Gaamer78 Jeu 7 Juin - 15:49
Quand DmC: Devil May Cry a été dévoilé, quelle ne fut pas notre surprise de découvrir un Dante
changé, plus jeune et, en apparence, moins charismatique. Pour son
premier rencard, le nouveau chasseur de démons avait raté les
présentations mais son acharnement – et celui du studio Ninja Theory – auront fini par payer. Car, oui, ce reboot d’une franchise culte de la PlayStation 2 est bien parti pour créer la surprise, contre toute attente et malgré l'Enfer sur le dos.
La démo E3 de DmC: Devil May Cry nous permettait de jouer à deux séquences. La première, intitulée Under Watch, s’apparentait à un tutorial. Chargé de nous accompagner au cours de notre baptême, il passait en revue l'essentiel du gameplay très réussi du titre. Ce dernier est basé sur la faculté de Dante
à pouvoir passer en mode angélique ou démoniaque. Les deux n'altèrent
pas le physique du beau gosse et s’illustrent par une arme différente –
une faux pour la lumière, une hache lourde pour les ténèbres – et un
pouvoir opposé – agripper les ennemis pour foncer sur eux ou les attirer
vers nous. Aussi, ils n’agissent pas de la même manière sur
l’environnement (le mode angélique permet de s’accrocher à certains
éléments pour se balancer et continuer d’avancer). Étant donné qu’ils
sont activables à tout moment à l’aide des gâchettes, l’astuce consiste à
passer de l’un à l’autre en plein combat pour lâcher des attaques
dévastatrices. Forcément, les possibilités sont nombreuses.
DmC: Devil May Cry
se veut donc très dynamique et les sensations sont assez proches de ce
que nous connaissons des anciens opus (esquive toujours aussi lente). Et
il l’est d’autant plus que les décors évoluent au fur et à mesure que
les enfers débarquent sur terre, avec la ferme intention de se
débarrasser de Dante et de son arrogance à nulle autre
pareille. Sur ce point, le héros n’a pas changé d’un iota et il nous
ferait presque oublié qu’il a troqué ses cheveux argentés pour un noir
corbeau plus fashion. Son faciès de minet et ses yeux bleus
cristallins contrastent avec son comportement puéril et ses propos
injurieux envers ses poursuivants. Sa faculté à les déchiqueter un par
un également. Si jamais les rixes viennent à mal tourner, il peut vider
une jauge se remplissant au gré des combos pour devenir une sorte de
Super Guerrier (les coups sont plus puissants et régénèrent Dante). À part ça, le bellâtre peut planer un court instant. C’est très pratique pendant les phases de plateforme.
La deuxième partie de cette version jouable nous confrontait à un boss
géant, une sorte d’abeille pouvant déverser une substance néfaste sur
le sol. Quand c’était le cas, il fallait rapidement changer d’endroit
sous peine de perdre de la santé trop rapidement. Cet affrontement était
très impressionnant. D’une part, grâce au gigantisme de la bestiole et
de la tâche qu’il fallait surmonter pour l’achever (trois barres de
vie). D’autre part, parce qu’il mettait intelligemment en avant les
capacités de Dante. Ajoutez à cela un habillage soigné et un
humour noir de bon aloi et vous obtiendrez le traitement que le
personnage méritait pour marquer son retour et les esprits. Une fois de
plus.
changé, plus jeune et, en apparence, moins charismatique. Pour son
premier rencard, le nouveau chasseur de démons avait raté les
présentations mais son acharnement – et celui du studio Ninja Theory – auront fini par payer. Car, oui, ce reboot d’une franchise culte de la PlayStation 2 est bien parti pour créer la surprise, contre toute attente et malgré l'Enfer sur le dos.
La démo E3 de DmC: Devil May Cry nous permettait de jouer à deux séquences. La première, intitulée Under Watch, s’apparentait à un tutorial. Chargé de nous accompagner au cours de notre baptême, il passait en revue l'essentiel du gameplay très réussi du titre. Ce dernier est basé sur la faculté de Dante
à pouvoir passer en mode angélique ou démoniaque. Les deux n'altèrent
pas le physique du beau gosse et s’illustrent par une arme différente –
une faux pour la lumière, une hache lourde pour les ténèbres – et un
pouvoir opposé – agripper les ennemis pour foncer sur eux ou les attirer
vers nous. Aussi, ils n’agissent pas de la même manière sur
l’environnement (le mode angélique permet de s’accrocher à certains
éléments pour se balancer et continuer d’avancer). Étant donné qu’ils
sont activables à tout moment à l’aide des gâchettes, l’astuce consiste à
passer de l’un à l’autre en plein combat pour lâcher des attaques
dévastatrices. Forcément, les possibilités sont nombreuses.
DmC: Devil May Cry
se veut donc très dynamique et les sensations sont assez proches de ce
que nous connaissons des anciens opus (esquive toujours aussi lente). Et
il l’est d’autant plus que les décors évoluent au fur et à mesure que
les enfers débarquent sur terre, avec la ferme intention de se
débarrasser de Dante et de son arrogance à nulle autre
pareille. Sur ce point, le héros n’a pas changé d’un iota et il nous
ferait presque oublié qu’il a troqué ses cheveux argentés pour un noir
corbeau plus fashion. Son faciès de minet et ses yeux bleus
cristallins contrastent avec son comportement puéril et ses propos
injurieux envers ses poursuivants. Sa faculté à les déchiqueter un par
un également. Si jamais les rixes viennent à mal tourner, il peut vider
une jauge se remplissant au gré des combos pour devenir une sorte de
Super Guerrier (les coups sont plus puissants et régénèrent Dante). À part ça, le bellâtre peut planer un court instant. C’est très pratique pendant les phases de plateforme.
La deuxième partie de cette version jouable nous confrontait à un boss
géant, une sorte d’abeille pouvant déverser une substance néfaste sur
le sol. Quand c’était le cas, il fallait rapidement changer d’endroit
sous peine de perdre de la santé trop rapidement. Cet affrontement était
très impressionnant. D’une part, grâce au gigantisme de la bestiole et
de la tâche qu’il fallait surmonter pour l’achever (trois barres de
vie). D’autre part, parce qu’il mettait intelligemment en avant les
capacités de Dante. Ajoutez à cela un habillage soigné et un
humour noir de bon aloi et vous obtiendrez le traitement que le
personnage méritait pour marquer son retour et les esprits. Une fois de
plus.
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Re: E3 (Electronic Entertainment Expo)
par Gaamer78 Jeu 7 Juin - 15:50
Dans le monde du jeu vidéo, il y a des icônes incontournables. C'est le cas de Lara Croft, aventurière emblématique au sex appeal prononcé. Cette année, l'héroïne aux formes généreuses revient dans un reboot qui retrace les origines de la belle.
Dès le début, le décor est planté. Lara Croft,
jeune demoiselle de vingt et un ans, le visage meurtri et recouvert de
sang et de crasse, regarde du haut de sa falaise une épave de ce qui
devait être son bateau avant qu'elle ne se retrouve sur ce bout de terre
qui lui réserve de nombreuses surprises. Pas le temps pour les chichis
que la demoiselle se met aussitôt en route pour retrouver des visages
connus.Les premières minutes de jeu offrent une véritable claque
visuelle. Tant les décors, que la modélisation des personnages, en
passant par les effets de lumière ou d'eau. Crystal Dynamics
propose là une véritable prouesse technique avec l'un des plus beaux
jeux de cet E3 2012. Presque aucun détail n'est oublié, jusqu'aux
gouttes d'eau et de sang qui viennent éclabousser l'écran à plusieurs
reprises.
Revenons-en à notre survivante perdue sur son île. Durant la démonstration à laquelle nous avons eu l'honneur d'assister, Lara
s'enfonce à travers la végétation luxuriante, surmontant des obstacles
de taille, comme le gouffre qu'elle doit franchir non sans mal grâce à
un tronc d'arbre faisant office de pont de fortune. Une fois cette étape
surmontée, quel bonheur de retrouver un vestige de la civilisation :
une carcasse d'avion encore enchevêtrée dans les hautes branches, que Lara entreprend aussitôt d'escalader. Cette scène n'est pas sans rappeler l'introduction d'Uncharted 2, lorsque Drake remonte le long d'un train suspendu dans le vide.
Le temps que la belle trouve finalement
un abri de fortune et se fasse un feu salvateur avec la dernière
allumette en sa possession, cela nous laisse le temps d'admirer
l'ambiance du titre, mise en exergue par une bande son immersive, tant
pour la musique générale que pour les bruitages qui agrémentent chaque
mouvement de la célèbre aventurière qui a suscité de nombreux fantasmes
pour toute une génération de joueurs, ses petits râles réguliers aidant à
cela également dans cet épisode.
Miss Croft finit finalement par
trouver une arme : un arc "tombé du ciel", non sans effort pour
l'obtenir. Le côté linéaire se termine là, offrant un vaste terrain de
jeu dans lequel il est possible de s'entraîner afin d'améliorer les
capacités de notre héroïne. Bien que le monde ne soit pas réellement
ouvert, les zones sont suffisamment grandes pour apporter une sensation
de liberté non négligeable. Une fois un certain nombre de points
d'expérience engrangés ou d'objets ramassés, Lara peut modifier
son équipement et ses capacités lors de ses passages aux camps de base.
Ces derniers sont reliés entre eux et servent de téléporteurs une fois
atteints, une manière efficace de donner accès à d'anciennes zones déjà
visitées sans lasser le joueur avec des allers-retours trop réguliers.
Les développeurs ont travaillé sur les émotions, et il n'est pas rare
d'être pris de pitié pour ce personnage qui enchaîne les déboires à une
fréquence impressionnante, ou de ressentir ses sensations lorsque
celle-ci hésite à abattre une biche, pourtant source de nourriture
vitale.
Le gameplay, propre à la saga,
alterne phases de plateforme et phases de combat. Ces dernières se
basent sur le tir lorsque cela est possible, avec des séquences de Quick Time Event lors du corps-à-corps si un ennemi arrive à atteindre Lara.
Il ne sera pas rare de devoir exécuter son ennemi une fois celui-ci à
terre. La présence du joueur est également sollicitée lors de certaines
cinématiques où Lara Croft se sortira de certaines situations grâce à des QTE.Légèrement
plus loin dans l'aventure, la belle se retrouve coincée dans un piège à
loups, à la merci des prédateurs. L'ambiance pesante et les ralentis
lors des attaques contribuent alors à donner un côté survival-horror au jeu. Celui-ci n'est pourtant pas dépourvu de clins d'œil, avec notamment le geek du groupe arborant un bouton ECHAP sur son T-shirt.
Tomb Raider: Rebootretrace
donc l'évolution d'un emblème du jeu vidéo lors de sa descente aux
enfers qui a fait d'elle ce que tous les joueurs connaissent
aujourd'hui. Les amateurs de la série seront donc aux anges, tandis que
les autres devraient penser à essayer ce titre qui s'annonce d'ores et
déjà très prometteur.
Dès le début, le décor est planté. Lara Croft,
jeune demoiselle de vingt et un ans, le visage meurtri et recouvert de
sang et de crasse, regarde du haut de sa falaise une épave de ce qui
devait être son bateau avant qu'elle ne se retrouve sur ce bout de terre
qui lui réserve de nombreuses surprises. Pas le temps pour les chichis
que la demoiselle se met aussitôt en route pour retrouver des visages
connus.Les premières minutes de jeu offrent une véritable claque
visuelle. Tant les décors, que la modélisation des personnages, en
passant par les effets de lumière ou d'eau. Crystal Dynamics
propose là une véritable prouesse technique avec l'un des plus beaux
jeux de cet E3 2012. Presque aucun détail n'est oublié, jusqu'aux
gouttes d'eau et de sang qui viennent éclabousser l'écran à plusieurs
reprises.
Revenons-en à notre survivante perdue sur son île. Durant la démonstration à laquelle nous avons eu l'honneur d'assister, Lara
s'enfonce à travers la végétation luxuriante, surmontant des obstacles
de taille, comme le gouffre qu'elle doit franchir non sans mal grâce à
un tronc d'arbre faisant office de pont de fortune. Une fois cette étape
surmontée, quel bonheur de retrouver un vestige de la civilisation :
une carcasse d'avion encore enchevêtrée dans les hautes branches, que Lara entreprend aussitôt d'escalader. Cette scène n'est pas sans rappeler l'introduction d'Uncharted 2, lorsque Drake remonte le long d'un train suspendu dans le vide.
Le temps que la belle trouve finalement
un abri de fortune et se fasse un feu salvateur avec la dernière
allumette en sa possession, cela nous laisse le temps d'admirer
l'ambiance du titre, mise en exergue par une bande son immersive, tant
pour la musique générale que pour les bruitages qui agrémentent chaque
mouvement de la célèbre aventurière qui a suscité de nombreux fantasmes
pour toute une génération de joueurs, ses petits râles réguliers aidant à
cela également dans cet épisode.
Miss Croft finit finalement par
trouver une arme : un arc "tombé du ciel", non sans effort pour
l'obtenir. Le côté linéaire se termine là, offrant un vaste terrain de
jeu dans lequel il est possible de s'entraîner afin d'améliorer les
capacités de notre héroïne. Bien que le monde ne soit pas réellement
ouvert, les zones sont suffisamment grandes pour apporter une sensation
de liberté non négligeable. Une fois un certain nombre de points
d'expérience engrangés ou d'objets ramassés, Lara peut modifier
son équipement et ses capacités lors de ses passages aux camps de base.
Ces derniers sont reliés entre eux et servent de téléporteurs une fois
atteints, une manière efficace de donner accès à d'anciennes zones déjà
visitées sans lasser le joueur avec des allers-retours trop réguliers.
Les développeurs ont travaillé sur les émotions, et il n'est pas rare
d'être pris de pitié pour ce personnage qui enchaîne les déboires à une
fréquence impressionnante, ou de ressentir ses sensations lorsque
celle-ci hésite à abattre une biche, pourtant source de nourriture
vitale.
Le gameplay, propre à la saga,
alterne phases de plateforme et phases de combat. Ces dernières se
basent sur le tir lorsque cela est possible, avec des séquences de Quick Time Event lors du corps-à-corps si un ennemi arrive à atteindre Lara.
Il ne sera pas rare de devoir exécuter son ennemi une fois celui-ci à
terre. La présence du joueur est également sollicitée lors de certaines
cinématiques où Lara Croft se sortira de certaines situations grâce à des QTE.Légèrement
plus loin dans l'aventure, la belle se retrouve coincée dans un piège à
loups, à la merci des prédateurs. L'ambiance pesante et les ralentis
lors des attaques contribuent alors à donner un côté survival-horror au jeu. Celui-ci n'est pourtant pas dépourvu de clins d'œil, avec notamment le geek du groupe arborant un bouton ECHAP sur son T-shirt.
Tomb Raider: Rebootretrace
donc l'évolution d'un emblème du jeu vidéo lors de sa descente aux
enfers qui a fait d'elle ce que tous les joueurs connaissent
aujourd'hui. Les amateurs de la série seront donc aux anges, tandis que
les autres devraient penser à essayer ce titre qui s'annonce d'ores et
déjà très prometteur.
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Re: E3 (Electronic Entertainment Expo)
par Gaamer78 Jeu 7 Juin - 15:50
Sur le stand de Konami, la foule a les yeux rivés sur la partie réservée à Metal Gear Rising: Revengeance.
Logique, il est attendu au tournant et le buzz qui l’entourait à
quelques jours de l’E3 ont parachevé l’engouement vis-à-vis de ce spin-off. Pour rappel, il est développé par Platinum Games (Vanquish, Bayonetta) et met en scène Raiden, blondinet beau gosse de Metal Gear Solid 2: Sons of Liberty, naguère objet de courroux. Aujourd’hui, Jack, de son prénom, a grandi et est devenu une véritable arme de destruction massive. Détruisons donc avec lui.
Après un court passage dans la Briefing Room, où nous étions invités à regarder une vidéo montrant les atrocités que Jack a subies avant sa transformation en ninja cyborg (c’est en fait une version longue des différents teasers vus jusqu’à maintenant) puis une autre sur le jeu à proprement parler (sous forme d’un briefing), il était temps d’incarner l’ancien acolyte de Snake.
Malheureusement, la démo à laquelle nous avons eu droit fut très
courte. Fort heureusement, elle se rattrapait via son intensité. En une
poignée de minutes, elle mettait en exergue le Blade Mode, la principale composante du gameplay de ce Metal Gear Rising: Revengeance. Explications.
Comme son nom l’indique, le Blade Mode s’apparente à une utilisation davantage concrète du sabre de Raiden.
En quelques mots, il suffit d’appuyer sur la gâchette gauche pour
activer un ralenti et nous permettre de contrôler l’arme blanche avec le
stick droit (la direction et la vitesse du coup varient selon l'inclinaison). Le but de la manœuvre est d’offrir la possibilité de trancher en mille morceaux tout ce qui bouge avec précision (certains décors peuvent également faire partie des victimes), de manière à faire augmenter son score et d’obtenir divers objets. L’autre atout de ce Blade Mode
est bien évidemment de nous en mettre plein la vue, grâce à un
spectacle mirifique et une profusion de sang capable de remplir des
dizaines et des dizaines de citernes. L’exercice de style est réussi et Raiden n’aura jamais paru aussi puissant et classe.
Au final, ce Metal Gear Rising: Revengeance parvient à assurer niveau prise en main, Platinum Games n’étant pas un novice en la matière. Raiden est docile à bien des égards, les combos sont lâchés assez facilement et le système d'esquive est plutôt efficace (il requiert du timing et un peu de doigté). Le Blade Mode
est une bonne idée et il peut être déclenché à tout moment, même quand
le héros est déjà en train de s’acharner sur l’ennemi d'une façon plus
classique. Le studio a sans aucun doute profité de l’expérience
emmagasinée sur ses précédents titres pour pondre ce beat them all capé et agréable. Quant à l’héritage des Metal Gear, il en a gardé les cinématiques de poseur, quelques clins d’œil (les sons, les boites en carton) et peut-être bien la narration, via cette hypothétique faculté d’introduire un background dignes du pedigree de la franchise. Si tel est le cas, alors Metal Gear Rising: Revengeance sera un futur gros hit, bien qu'il faudra surveiller son éventuelle propension à devenir répétitif.
Logique, il est attendu au tournant et le buzz qui l’entourait à
quelques jours de l’E3 ont parachevé l’engouement vis-à-vis de ce spin-off. Pour rappel, il est développé par Platinum Games (Vanquish, Bayonetta) et met en scène Raiden, blondinet beau gosse de Metal Gear Solid 2: Sons of Liberty, naguère objet de courroux. Aujourd’hui, Jack, de son prénom, a grandi et est devenu une véritable arme de destruction massive. Détruisons donc avec lui.
Après un court passage dans la Briefing Room, où nous étions invités à regarder une vidéo montrant les atrocités que Jack a subies avant sa transformation en ninja cyborg (c’est en fait une version longue des différents teasers vus jusqu’à maintenant) puis une autre sur le jeu à proprement parler (sous forme d’un briefing), il était temps d’incarner l’ancien acolyte de Snake.
Malheureusement, la démo à laquelle nous avons eu droit fut très
courte. Fort heureusement, elle se rattrapait via son intensité. En une
poignée de minutes, elle mettait en exergue le Blade Mode, la principale composante du gameplay de ce Metal Gear Rising: Revengeance. Explications.
Comme son nom l’indique, le Blade Mode s’apparente à une utilisation davantage concrète du sabre de Raiden.
En quelques mots, il suffit d’appuyer sur la gâchette gauche pour
activer un ralenti et nous permettre de contrôler l’arme blanche avec le
stick droit (la direction et la vitesse du coup varient selon l'inclinaison). Le but de la manœuvre est d’offrir la possibilité de trancher en mille morceaux tout ce qui bouge avec précision (certains décors peuvent également faire partie des victimes), de manière à faire augmenter son score et d’obtenir divers objets. L’autre atout de ce Blade Mode
est bien évidemment de nous en mettre plein la vue, grâce à un
spectacle mirifique et une profusion de sang capable de remplir des
dizaines et des dizaines de citernes. L’exercice de style est réussi et Raiden n’aura jamais paru aussi puissant et classe.
Au final, ce Metal Gear Rising: Revengeance parvient à assurer niveau prise en main, Platinum Games n’étant pas un novice en la matière. Raiden est docile à bien des égards, les combos sont lâchés assez facilement et le système d'esquive est plutôt efficace (il requiert du timing et un peu de doigté). Le Blade Mode
est une bonne idée et il peut être déclenché à tout moment, même quand
le héros est déjà en train de s’acharner sur l’ennemi d'une façon plus
classique. Le studio a sans aucun doute profité de l’expérience
emmagasinée sur ses précédents titres pour pondre ce beat them all capé et agréable. Quant à l’héritage des Metal Gear, il en a gardé les cinématiques de poseur, quelques clins d’œil (les sons, les boites en carton) et peut-être bien la narration, via cette hypothétique faculté d’introduire un background dignes du pedigree de la franchise. Si tel est le cas, alors Metal Gear Rising: Revengeance sera un futur gros hit, bien qu'il faudra surveiller son éventuelle propension à devenir répétitif.
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Re: E3 (Electronic Entertainment Expo)
par Gaamer78 Jeu 7 Juin - 15:52
À croire que la franchise Just Dance est sur le point de mettre le feu au monde des jeux de danse sur console. En effet, après l'annonce de Just Dance 4 et Just Dance: Greatest Hits hier, le studio français Ubisoft annonce aujourd'hui un nouvel épisode pour sa série.
Il s'agit en effet de Just Dance: Disney Party
qui se sera tout de même destiné aux plus jeunes d'entre nous.
Effectivement, le casting le prouve puisqu'il mettra en scène de
nombreux personnages des dessins animés Disney, et également de Disney Channel :
Disney Classics
Disney Channel
Parcs Disney
Just Dance: Disney Party débarquera dès octobre 2012 sur Kinect Xbox 360, Wii et PS3.
Il s'agit en effet de Just Dance: Disney Party
qui se sera tout de même destiné aux plus jeunes d'entre nous.
Effectivement, le casting le prouve puisqu'il mettra en scène de
nombreux personnages des dessins animés Disney, et également de Disney Channel :
Disney Classics
- "Les aristochats"
- "La Belle et la Bête"
- "Bolt"
- "Cendrillon"
- "Il était une fois"
- "Le Livre de la Jungle"
- "Lilo & Stitch"
- "La Petite Sirène"
- "Mary Poppins"
- "Peter Pan"
- "Raiponce"
- "Raiponce"
- "The Muppets"
- "La Fée Clochette"
Disney Channel
- "Ant Farm"
- "Camp Rock"
- "Good Luck Charlie"
- "Hannah Montana"
- "High School Musical"
- "Jessie"
- "Phineas et Ferb"
- "Shake It Up"
- "Shake It Up" ("Twist My Hips")
- "Les sorciers de Waverly Place"
Parcs Disney
- La chanson emblématique des parcs à thèmes
Just Dance: Disney Party débarquera dès octobre 2012 sur Kinect Xbox 360, Wii et PS3.
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Re: E3 (Electronic Entertainment Expo)
par Gaamer78 Jeu 7 Juin - 15:52
Si nous l'avions déjà croisé à l'occasion de diverses bandes-annonces toutes plus impressionnantes les unes que les autres, Dishonored
se dévoile pour la première fois à travers une séquence de jeu continue
de plus de cinq minutes. À quelques mois de sa sortie du 12 octobre, le
jeu nous fait donc une fois de plus saliver, en direct de Los Angeles,
pour une vidéo qui nous permet aussi bien d'apprécier la beauté des
décors que la diversité de l'approche du système de jeu, le titre
pouvant en effet se terminer sans tuer personne.
Pour ceux qui préfèrent les images
fixes, une petite galerie de captures a été lâchée dans la nature, nous
offrant quelques clichés à la première personne où Corvo manie aussi bien l'épée que les pouvoirs surnaturels.
se dévoile pour la première fois à travers une séquence de jeu continue
de plus de cinq minutes. À quelques mois de sa sortie du 12 octobre, le
jeu nous fait donc une fois de plus saliver, en direct de Los Angeles,
pour une vidéo qui nous permet aussi bien d'apprécier la beauté des
décors que la diversité de l'approche du système de jeu, le titre
pouvant en effet se terminer sans tuer personne.
Pour ceux qui préfèrent les images
fixes, une petite galerie de captures a été lâchée dans la nature, nous
offrant quelques clichés à la première personne où Corvo manie aussi bien l'épée que les pouvoirs surnaturels.
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Re: E3 (Electronic Entertainment Expo)
par Gaamer78 Jeu 7 Juin - 15:53
Récemment dévoilé lors de l'E3 2012 sans grande surprise, Just Dance 4 s'offre une bande-annonce rythmée au son de certains hits
qui seront assurément les fers de lance de ce nouvel opus. En marge de
cette présentation centrée sur le thème de la fête entre amis, Ubisoft lâche quelques informations sur les futurs modes de jeu et autres améliorations attendues par les fans de la franchise. Au rang des nouveautés, notons un mode Battle
qui donnera lieu à des affrontements entre amis au cours desquels
chorégraphies et musiques évolueront en temps réel, en fonction du
joueur qui mène la danse. Également, vous ne pourrez plus vous lasser de
vos musiques favorites, puisqu'il sera possible de débloquer des
chorégraphies alternatives plus difficiles, afin d'augmenter le challenge ou simplement pour varier les plaisirs. Enfin, le très apprécié mode Just Sweat
sera repensé et vous permettra de créer vos programmes personnalisés à
l'aide de nouveaux exercices, et intégrera désormais un compteur de
calories certainement plus précis et efficace que les "gouttes de sueur"
du précédent opus.
Par ailleurs, des fonctionnalités propres à la version Wii U ont été dévoilées, rendues possibles grâce au Wii U Gamepad. Dans un mode nommé Marionnette, le joueur derrière le Gamepad
aura une emprise totale sur ses partenaires, et il pourra modifier la
musique et la chorégraphie, voire même en créer une, que les autres
joueurs devront respecter. De même, un aspect communautaire sera intégré
à cette version puisqu'il sera possible, toujours grâce au Gamerpad,
de rédiger des petits mots à l'attention des autres joueurs et de les
afficher pendant la chorégraphie sur l'écran. L'immortalisation de ces
purs moments de délire ainsi que la célèbre fonction "partager" seront
également de mise.
Aucune information toutefois sur un
possible mode en ligne, grand absent des versions précédentes, de même
qu'un éventuel "DanceStore" qui permettrait, à la manière d'un Singstar, de prolonger le plaisir sans attendre un potentiel Just Dance 5. Just Dance 4 sortira début octobre 2012 sur PS3, Xbox 360 et Wii ; et pour Noël 2012 sur Wii U si nous en croyons la fin de la vidéo.
Enfin, l'information ne serait pas complète sans un petit avant-goût de la playlist dont 10 titres, sur la quarantaine attendue, ont été dévoilés :
1. Barry White -- "You're The First, The Last, My Everything"
2. Flo Rida -- "Good Feeling (Alice Version)"
3. Maroon 5 ft. Christina Aguilera -- "Moves Like Jagger"
4. Nelly Furtado -- "Maneater"
5. Nicki Minaj -- "Super Bass"
6. P!nk -- "So What"
7. Rick Astley -- "Never Gonna Give You Up"
8. Rihanna -- "Disturbia"
9. The B-52's -- "Rock Lobster"
10. Will Smith -- "Wild Wild West"
qui seront assurément les fers de lance de ce nouvel opus. En marge de
cette présentation centrée sur le thème de la fête entre amis, Ubisoft lâche quelques informations sur les futurs modes de jeu et autres améliorations attendues par les fans de la franchise. Au rang des nouveautés, notons un mode Battle
qui donnera lieu à des affrontements entre amis au cours desquels
chorégraphies et musiques évolueront en temps réel, en fonction du
joueur qui mène la danse. Également, vous ne pourrez plus vous lasser de
vos musiques favorites, puisqu'il sera possible de débloquer des
chorégraphies alternatives plus difficiles, afin d'augmenter le challenge ou simplement pour varier les plaisirs. Enfin, le très apprécié mode Just Sweat
sera repensé et vous permettra de créer vos programmes personnalisés à
l'aide de nouveaux exercices, et intégrera désormais un compteur de
calories certainement plus précis et efficace que les "gouttes de sueur"
du précédent opus.
Par ailleurs, des fonctionnalités propres à la version Wii U ont été dévoilées, rendues possibles grâce au Wii U Gamepad. Dans un mode nommé Marionnette, le joueur derrière le Gamepad
aura une emprise totale sur ses partenaires, et il pourra modifier la
musique et la chorégraphie, voire même en créer une, que les autres
joueurs devront respecter. De même, un aspect communautaire sera intégré
à cette version puisqu'il sera possible, toujours grâce au Gamerpad,
de rédiger des petits mots à l'attention des autres joueurs et de les
afficher pendant la chorégraphie sur l'écran. L'immortalisation de ces
purs moments de délire ainsi que la célèbre fonction "partager" seront
également de mise.
Aucune information toutefois sur un
possible mode en ligne, grand absent des versions précédentes, de même
qu'un éventuel "DanceStore" qui permettrait, à la manière d'un Singstar, de prolonger le plaisir sans attendre un potentiel Just Dance 5. Just Dance 4 sortira début octobre 2012 sur PS3, Xbox 360 et Wii ; et pour Noël 2012 sur Wii U si nous en croyons la fin de la vidéo.
Enfin, l'information ne serait pas complète sans un petit avant-goût de la playlist dont 10 titres, sur la quarantaine attendue, ont été dévoilés :
1. Barry White -- "You're The First, The Last, My Everything"
2. Flo Rida -- "Good Feeling (Alice Version)"
3. Maroon 5 ft. Christina Aguilera -- "Moves Like Jagger"
4. Nelly Furtado -- "Maneater"
5. Nicki Minaj -- "Super Bass"
6. P!nk -- "So What"
7. Rick Astley -- "Never Gonna Give You Up"
8. Rihanna -- "Disturbia"
9. The B-52's -- "Rock Lobster"
10. Will Smith -- "Wild Wild West"
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Re: E3 (Electronic Entertainment Expo)
par Gaamer78 Jeu 7 Juin - 15:53
Pourtant lancé en 2010 sur PC, Final Fantasy XIV a été repoussé sur PS3 pour des questions de développement avant d'être totalement retiré du planning, faute à une version PC buguée comme jamais. Ainsi, Square Enix a pris le temps de créer une version 2.0 de son MMORPG,
qui sera proposée gratuitement dans une mise à jour d'ici la fin de
l'année, et qui servira de base à la version PlayStation 3, elle
désormais proche de la sortie du tunnel avec une arrivée fixée à début
2013.
Pour vous faire une idée de cette version revue et corrigée, avec des graphismes améliorés, des bugs
fixés, des classes inédites, des quêtes supplémentaires et du contenu
original à foison, quelques captures ont été diffusées depuis Los
Angeles.
qui sera proposée gratuitement dans une mise à jour d'ici la fin de
l'année, et qui servira de base à la version PlayStation 3, elle
désormais proche de la sortie du tunnel avec une arrivée fixée à début
2013.
Pour vous faire une idée de cette version revue et corrigée, avec des graphismes améliorés, des bugs
fixés, des classes inédites, des quêtes supplémentaires et du contenu
original à foison, quelques captures ont été diffusées depuis Los
Angeles.
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Re: E3 (Electronic Entertainment Expo)
par Gaamer78 Jeu 7 Juin - 15:54
Fermement attendu par de nombreux fans de jeux de tir en monde ouvert pour le 21 septembre, Borderlands 2
ne se contentera pas de varier ses décors en mêlant les habituelles
zones désertiques à des régions de verdure ou de montagne. En effet,
comme nous le montre de manière indirecte la série de captures diffusée
aujourd'hui pour l'E3 2012, le personnage que nous choisirons
pour cette nouvelle aventure pourra se rendre dans une cité totalement
urbanisée et dominée par les gratte-ciels.
Cette apparition n'est finalement pas si
étonnante que ça étant donné que notre mission sera de récupérer un
butin promis par un vil magnat de l'industrie qui a réussi à faire
avancer technologiquement notre planète. Pour le reste, les images se
composent essentiellement de gros monstres et de grosses armes, la norme
pour la série.
ne se contentera pas de varier ses décors en mêlant les habituelles
zones désertiques à des régions de verdure ou de montagne. En effet,
comme nous le montre de manière indirecte la série de captures diffusée
aujourd'hui pour l'E3 2012, le personnage que nous choisirons
pour cette nouvelle aventure pourra se rendre dans une cité totalement
urbanisée et dominée par les gratte-ciels.
Cette apparition n'est finalement pas si
étonnante que ça étant donné que notre mission sera de récupérer un
butin promis par un vil magnat de l'industrie qui a réussi à faire
avancer technologiquement notre planète. Pour le reste, les images se
composent essentiellement de gros monstres et de grosses armes, la norme
pour la série.
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Re: E3 (Electronic Entertainment Expo)
par Gaamer78 Jeu 7 Juin - 15:54
Bien que malheureux, c'est sans grande surprise que nous avons pu constater l'absence de The Last Guardian à la conférence pré-E3 de Sony
qui s'est déroulée dans la nuit de lundi à mardi. Depuis, les rumeurs
sur le titre vont bon train. Alors que certains le voient arriver sur PlayStation 4, d'autres affirment que le projet est purement et simplement annulé...
Mais voici que Shuhei Yoshida, président de Sony Worldwide Studios, vient mettre les points sur les i. Lors d'une interview avec nos confrères d'Eurogamer, l'homme a déclaré que The Last Guardian
était en proie à des difficultés techniques, mais que l'équipe de
développement, de retour à Tokyo, se concentre dessus en priorité. A
priori, le départ du designer Fumito Ueda en décembre dernier
n'a fait qu'aggraver les choses et, depuis, l'avancement du projet suit
son cours lentement, très lentement.
Pour finir, Shuhei Yoshida a confirmé haut et fort que The Last Guardian sortira sur PlayStation 3, et non sur la next-gen, et qu'il reviendra sur le devant de la scène quand il sera prêt.
qui s'est déroulée dans la nuit de lundi à mardi. Depuis, les rumeurs
sur le titre vont bon train. Alors que certains le voient arriver sur PlayStation 4, d'autres affirment que le projet est purement et simplement annulé...
Mais voici que Shuhei Yoshida, président de Sony Worldwide Studios, vient mettre les points sur les i. Lors d'une interview avec nos confrères d'Eurogamer, l'homme a déclaré que The Last Guardian
était en proie à des difficultés techniques, mais que l'équipe de
développement, de retour à Tokyo, se concentre dessus en priorité. A
priori, le départ du designer Fumito Ueda en décembre dernier
n'a fait qu'aggraver les choses et, depuis, l'avancement du projet suit
son cours lentement, très lentement.
Pour finir, Shuhei Yoshida a confirmé haut et fort que The Last Guardian sortira sur PlayStation 3, et non sur la next-gen, et qu'il reviendra sur le devant de la scène quand il sera prêt.
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Re: E3 (Electronic Entertainment Expo)
par Gaamer78 Jeu 7 Juin - 15:54
Le 23 octobre prochain, si nous pourrons retrouver les combattants du Tier 1
dans de nouveaux conflits, nous pourrons surtout incarner d'autres
unités venues de nombreuses contrées différentes pour les diriger dans
des affrontements parallèles, alors que les issues de tous ces combats
sont liées entre elles. Telle est la promesse de Medal of Honor: Warfighter,
suite directe de l'épisode de 2010 qui reprendra les grandes lignes du
jeu d'il y a deux ans pour les pousser encore plus loin.
Si la série de captures diffusée pour
l'E3 2012 se concentre principalement sur la campagne, encore une fois
riche en décors sauvages et poussiéreux, le jeu misera aussi beaucoup
sur son multijoueur nous permettant d'incarner jusqu'à douze classes
différentes reprenant les équipements et armements de soldats venus de
dix pays.
dans de nouveaux conflits, nous pourrons surtout incarner d'autres
unités venues de nombreuses contrées différentes pour les diriger dans
des affrontements parallèles, alors que les issues de tous ces combats
sont liées entre elles. Telle est la promesse de Medal of Honor: Warfighter,
suite directe de l'épisode de 2010 qui reprendra les grandes lignes du
jeu d'il y a deux ans pour les pousser encore plus loin.
Si la série de captures diffusée pour
l'E3 2012 se concentre principalement sur la campagne, encore une fois
riche en décors sauvages et poussiéreux, le jeu misera aussi beaucoup
sur son multijoueur nous permettant d'incarner jusqu'à douze classes
différentes reprenant les équipements et armements de soldats venus de
dix pays.
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Re: E3 (Electronic Entertainment Expo)
par Gaamer78 Jeu 7 Juin - 15:54
Après l'annulation de NBA Elite 11 et l'annonce du retour aux sources de la licence de basket NBA d'EA Sports, NBA Live 13 viendra tenter de marcher sur les plates-bandes de son concurrent NBA 2K qui a mis la barre très haut avec son édition 2K12 et fera certainement encore plus fort avec NBA 2K13 que nous pouvons déjà voir en démonstration dans les allées de l'E3.
En attendant de se montrer en mouvement, NBA Live 13 est présenté en images afin de nous montrer le soin qui a été apporté à la modélisation des visages des stars de la NBA. Espérons donc qu'EA Sports ait réussit son pari de faire renaître sa licence de ses cendres et saura en faire un concurrent sérieux à NBA 2K13
à qui la bague de champion va particulièrement bien. Le face à face se
fait actuellement à distance dans les allées du salon, mais le choc
frontal aura lieu en octobre. Qui en sortira vainqueur ?
En attendant de se montrer en mouvement, NBA Live 13 est présenté en images afin de nous montrer le soin qui a été apporté à la modélisation des visages des stars de la NBA. Espérons donc qu'EA Sports ait réussit son pari de faire renaître sa licence de ses cendres et saura en faire un concurrent sérieux à NBA 2K13
à qui la bague de champion va particulièrement bien. Le face à face se
fait actuellement à distance dans les allées du salon, mais le choc
frontal aura lieu en octobre. Qui en sortira vainqueur ?
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Re: E3 (Electronic Entertainment Expo)
par Gaamer78 Jeu 7 Juin - 15:55
Tout juste annoncé sur Wii U, Assassin's Creed III s'offre aujourd'hui un journal de développement nous apprenant qu'une carte pourra être affichée en permanence sur le GamePad
pour favoriser notre avancée et que le contrôleur nous permettra
également un accès rapide aux différentes armes, facilitant aussi nos
combos. En dehors de cela, le jeu sur cette console devrait être très
similaire aux versions PlayStation 3 et Xbox 360. Ainsi, la vidéo de gameplay diffusée aujourd'hui, jouée sur Wii U, peut être appréciée équitablement par tous les joueurs.
Mais ce qui nous intéresse surtout pour
nous autres possesseurs de PlayStation 3, c'est un massacre en bonne et
due forme sur une place publique, pour une séquence qui mêle aussi bien
l'exploration que l'action. Dans un autre registre, des captures des
batailles navales et du multijoueur ont également été diffusées. À noter
que si le titre est prévu pour le 31 octobre sur les deux premières
consoles HD.
pour favoriser notre avancée et que le contrôleur nous permettra
également un accès rapide aux différentes armes, facilitant aussi nos
combos. En dehors de cela, le jeu sur cette console devrait être très
similaire aux versions PlayStation 3 et Xbox 360. Ainsi, la vidéo de gameplay diffusée aujourd'hui, jouée sur Wii U, peut être appréciée équitablement par tous les joueurs.
Mais ce qui nous intéresse surtout pour
nous autres possesseurs de PlayStation 3, c'est un massacre en bonne et
due forme sur une place publique, pour une séquence qui mêle aussi bien
l'exploration que l'action. Dans un autre registre, des captures des
batailles navales et du multijoueur ont également été diffusées. À noter
que si le titre est prévu pour le 31 octobre sur les deux premières
consoles HD.
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Re: E3 (Electronic Entertainment Expo)
par Gaamer78 Jeu 7 Juin - 15:56
Vous êtes fan de la série animée Ken le Survivant et vous avez aimé Fist of the North Star: Ken's Rage ? Si en plus vous êtes fan de hard rock et de riffs endiablés, ce trailer de Fist of the North Star: Ken’s Rage 2 devrait vous plaire. Peu d'informations filtrent dans cette courte vidéo, mis à part que Ken est de retour, qu'il n'est pas content et que ça va saigner.
Aucun support n'a encore été dévoilé, mais gageons que la Xbox 360 et la PlayStation 3 recevront le retour de la vengeance de Ken et, qui sait, peut-être même que les fans de "Watatatatatataaaaaaa" pourront tracer la Grande Ourse sur le pavé tactile de la Wii U.
Aucun support n'a encore été dévoilé, mais gageons que la Xbox 360 et la PlayStation 3 recevront le retour de la vengeance de Ken et, qui sait, peut-être même que les fans de "Watatatatatataaaaaaa" pourront tracer la Grande Ourse sur le pavé tactile de la Wii U.
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Re: E3 (Electronic Entertainment Expo)
par Gaamer78 Jeu 7 Juin - 15:56
Alors que le jeu a subi moult retards qui n'a visiblement pas entamé l'impatience des fans des petites bêbettes de l'espace, SEGA ne pouvait décemment pas se pointer à l'E3 2012 sans présenter quelques clichés d'Aliens: Colonial Marines.
Bon, l'éditeur aurait pu faire un effort
un peu plus conséquent que seulement quatre petites images, mais que
voulez-vous, il reste encore du chemin à parcourir avant la sortie
définitive du jeu.
Bon, l'éditeur aurait pu faire un effort
un peu plus conséquent que seulement quatre petites images, mais que
voulez-vous, il reste encore du chemin à parcourir avant la sortie
définitive du jeu.
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Re: E3 (Electronic Entertainment Expo)
par Gaamer78 Jeu 7 Juin - 15:57
Grande révélation de l'E3 2012, Beyond Two: Souls
n'avait jusqu'à présent pas encore évoqué son système de jeu, misant
pour le moment tout sur son univers, ses graphismes et la présence
d'Ellen Page en tant que personnage principal. C'est
ainsi dans les allées du salon, où une démo jouable est présentée, que
nous en apprenons plus sur l'étonnant système de jeu choisi pour vivre
cette nouvelle expérience signée David Cage. Nous retrouvons ici Jodie,
endormie dans un train, qui va devoir se réveiller quand la police
locale monte dans ce dernier en quête de la jeune femme, qui se serait
donc déjà échappée du poste de police aperçu dans la bande-annonce.
Pour nous mouvoir et nous défendre, il faudra bien user des Quick Time Event, nous invitant à user d'une touche en particulier pour continuer la cinématique, à la manière du désormais célèbre Heavy Rain.
En revanche, pour la fuite en moto, la maniabilité semble plus libre,
avec une direction à déterminer à tout moment pour rester dans le droit
chemin. Le plus surprenant et attrayant reste cependant la possibilité
de contrôler le second esprit, avec qui Jodie peut visiblement
communiquer, que ce soit directement dans le jeu ou pour naviguer
librement sur une portion de niveau, soit pour observer, soit pour
habiter un autre personnage et contrôler ses actions.
n'avait jusqu'à présent pas encore évoqué son système de jeu, misant
pour le moment tout sur son univers, ses graphismes et la présence
d'Ellen Page en tant que personnage principal. C'est
ainsi dans les allées du salon, où une démo jouable est présentée, que
nous en apprenons plus sur l'étonnant système de jeu choisi pour vivre
cette nouvelle expérience signée David Cage. Nous retrouvons ici Jodie,
endormie dans un train, qui va devoir se réveiller quand la police
locale monte dans ce dernier en quête de la jeune femme, qui se serait
donc déjà échappée du poste de police aperçu dans la bande-annonce.
Pour nous mouvoir et nous défendre, il faudra bien user des Quick Time Event, nous invitant à user d'une touche en particulier pour continuer la cinématique, à la manière du désormais célèbre Heavy Rain.
En revanche, pour la fuite en moto, la maniabilité semble plus libre,
avec une direction à déterminer à tout moment pour rester dans le droit
chemin. Le plus surprenant et attrayant reste cependant la possibilité
de contrôler le second esprit, avec qui Jodie peut visiblement
communiquer, que ce soit directement dans le jeu ou pour naviguer
librement sur une portion de niveau, soit pour observer, soit pour
habiter un autre personnage et contrôler ses actions.
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